Matt Elliott, seul face à la tempête
Le chanteur folk présente dimanche son opus The Calm Before à Fri-Son. Rien que lui
Tamara Bongard
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Fribourg » Matt Elliott sera sur la scène de Fri-Son dimanche. Il sera seul avec sa guitare pour distiller le calme avant la tempête dans le club fribourgeois, comme le laisse présager le titre de son dernier opus de dark folk, The Calm Before. Le musicien britannique, qui habite dans l’Hexagone, parle un peu la langue de Molière mais préfère discuter en anglais pour éviter les malentendus. Lors d’un entretien en français, un journaliste avait en effet compris l’inverse de ce que Matt Elliott voulait exprimer et avait écrit qu’il aimait Tony Blair. «C’était terrible», commente l’artiste. La Liberté l’a donc interviewé en anglais, en espérant n’avoir pas trahi ses propos à la traduction…
Votre dernier disque s’appelle The Calm Before. Mais à quelle tempête vous prépariez-vous, Donald Trump, la Corée du Nord, le Brexit?
Matt Elliott: J’ai écrit ce disque longtemps avant cela, ce n’était pas à propos de quelque chose en particulier, c’était plut