Nashville Pussy, le rock à l’ancienne
Le groupe américain joue demain à Genève et dimanche à Martigny
Tamara Bongard
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Musique » Ruyter Suys veut une interview par Skype et non par téléphone. Elle préfère voir les gens quand elle leur parle. Et ce serait bête de s’en priver car elle est éminemment sympathique, spontanée, s’esclaffe ou s’embrase quand une question fait mouche. Elle enchaîne les cigarettes et finira même par siroter un petit cocktail orangé, à la fin de l’entretien, le ponctuant d’un «cheers!», un «santé!» engageant. Avec elle, c’est le plaisir avant tout.
Cette tornade blonde est musicienne au sein de Nashville Pussy, une formation aux sonorités puissantes et aux paroles outrageantes. Selon feu Lemmy de Motörhead, il s’agit du «dernier groupe de rock’n’roll d’Amérique». Excusez du peu. Demain, ce combo exceptionnel fait une halte à Genève au PTR, qui fête