Misery »   C’est une soif d’apprendre qui pousse Florian Crausaz à la création. Jeune compositeur, né dans une famille de musiciens, il entendait découvrir les possibilités d’un orchestre à vents, quand s’est présentée l’occasion d’écrire pour le brass band La Lyre de Courtion. Venu du piano et du monde choral, Florian Crausaz avait soif d’élargir son écoute et ses moyens d’expression aux cuivres, très vivants dans le canton de Fribourg. Le public pourra découvrir sa nouvelle pièce, Nostalgie d’un mellophone oublié, samedi soir lors du concert annuel de l’ensemble, à Misery.

C’est Dominique Morel, cornettiste et directeur – volontiers ouvert à la nouveauté – de La Lyre, qui l’a accompagné dans le travail de composition. «Il m’a donn&eacu