Devoir d’exemplarité politique
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Je réagis au courrier intitulé «Affaires Maudet et Broulis: la gauche se trompe de combat» (19.9). Comment considérer des élues ou élus, de droite comme de gauche, peu importe le parti politique, qui se veulent respectables?
Mentir ou profiter de certaines largesses ou opportunités qui pourraient s’offrir dans le cadre de sa fonction s’appelle de la malhonnêteté avec beaucoup de maladresse pour des gens de pouvoir.
Alors à mon avis, que l’on soit municipal, conseiller national ou d’Etat, à la tête d’un service ou d’un groupe de parlementaires, vis-à-vis des personnes subalternes qui œuvrent sur le terrain, exécutent les ordres et directives avec minutie et respect du travail demandé, on se doit d’être irréprochable, droit et de montrer l’exemple.
Pour le bien de notre société, je pense que la politique gauche-droite a encore de beaux jours devant elle sous la Coupole fédérale et au parlement cantonal.
Christian Jaggi,
Payerne