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Aux Etats d’assumer le coût de la crise

Trois banquiers centraux, dont le président de la BNS, disent déjà faire de grands efforts

Tant pour Thomas Jordan, président de la BNS, Axel Weber, président d’UBS et Agustín Carstens, président de la BRI (de g. à dr.), il appartient à chacun de faire son travail pour adoucir les conséquences de la crise.
Tant pour Thomas Jordan, président de la BNS, Axel Weber, président d’UBS et Agustín Carstens, président de la BRI (de g. à dr.), il appartient à chacun de faire son travail pour adoucir les conséquences de la crise.
Tant pour Thomas Jordan, président de la BNS, Axel Weber, président d’UBS et Agustín Carstens, président de la BRI (de g. à dr.), il appartient à chacun de faire son travail pour adoucir les conséquences de la crise.
Tant pour Thomas Jordan, président de la BNS, Axel Weber, président d’UBS et Agustín Carstens, président de la BRI (de g. à dr.), il appartient à chacun de faire son travail pour adoucir les conséquences de la crise.

Yves Genier

Publié le 28.05.2020

Temps de lecture estimé : 4 minutes

Soutien à l’économie » A chacun de faire son travail pour adoucir les conséquences de la crise du Covid! Les banques centrales ont fait le leur en ouvrant largement les vannes monétaires, qui ont permis, notamment aux Etats-Unis et à plusieurs pays de l’Union européenne, de se refinancer à taux très bas. Mais c’est aux gouvernements de prendre en charge, désormais, la conduite des opérations et d’en assumer la facture.

C’est ce qu’ont déclaré hier conjointement Thomas Jordan, président de la Banque nationale suisse (BNS), Agustín Carstens, président de la Banque des règlements internationaux (BRI) à Bâle, la «banque centrale des banques centrales», et Axel Weber, ancien président de la Bundesbank allemande et actuel président d’UBS. C’est, du reste, à l’invi

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