La Liberté

En clair-obscur

Publié le 27.01.2020

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A la suite de votre article du 16 janvier, «Un tournant pour le festival», il ne faut pas être une lumière pour se rendre compte qu’avec le Festival des lumières, la ville de Morat ne s’engage pas pour une politique énergétique et climatique durable.

On peut répandre la lumière de plusieurs façons: être la bougie ou le miroir qui la reflète, être l’ampoule à faible consommation ou l’interrupteur qui l’éteint, ou encore être le rayon du soleil qui brille sur le monde dont le réchauffement du climat ne fait aucun doute.

Certes, on ne jette pas une ampoule quand elle éclaire encore, mais quitte à avoir des ampoules aux pieds, n’oubliez pas d’enclencher vos dynamos pour activer la matière grise car nos politiciens tournent en rond sur cette question actuellement. On ne peut pas tous être des lumières.

Marc-Olivier Peter, Zoug

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