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Ebullition avant de possibles frappes

Les Occidentaux entretiennent le flou sur leur riposte à l’attaque chimique. La Ghouta reprise par Damas

Alain Auffray et Hala Kodmani

Publié le 13.04.2018

Temps de lecture estimé : 9 minutes

Syrie »  Alors qu’elle semblait imminente, la menace d’une riposte militaire contre le régime d’al-Assad après l’attaque chimique de samedi sur Douma restait hier d’actualité mais un peu floue. Donald Trump lancera une attaque «très bientôt ou pas si tôt que cela», Emmanuel Macron se décidera «en temps voulu».

Alors que la tension est encore montée d’un cran après des menaces d’action militaire du président états-unien sur Twitter, la première ministre Theresa May a réuni son gouvernement pour étudier une possible participation britannique à une opération contre la Syrie.

Elle a ordonné à des sous-marins de la Royal Navy de faire mouvement pour être à portée de ce pays, en vue d’une éventuelle frappe qui pouvait avoir lieu dès

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