Johnson accusé
Publié le 02.12.2019
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Royaume-Uni » Boris Johnson s’est engagé à instaurer des peines plancher et à abolir les libérations anticipées pour les personnes condamnées pour terrorisme. Certains lui reprochent d’utiliser à des fins politiques l’attentat meurtrier de Londres.
Au surlendemain de l’attaque au couteau qui a fait deux morts vendredi sur le London Bridge, le premier ministre britannique a accusé les travaillistes d’être à l’origine d’une loi ayant permis la libération anticipée automatique de l’assaillant. «Nous n’avons pas besoin de réactions à l’emporte-pièce», a tweeté le père du jeune homme tué. ATS/AFP