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Le plan de relance est bloqué

La Hongrie et la Pologne refusent que les aides soient conditionnées à l’Etat de droit

De gauche à droite, le premier ministre polonais Mateusz Morawiecki, le premier ministre tchèque Andrej Babis et le premier ministre hongrois Viktor Orban suivent la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen avant une réunion. Keystone
De gauche à droite, le premier ministre polonais Mateusz Morawiecki, le premier ministre tchèque Andrej Babis et le premier ministre hongrois Viktor Orban suivent la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen avant une réunion. Keystone

Nelly Didelot

Publié le 01.10.2020

Temps de lecture estimé : 3 minutes

Union européenne » Viktor Orbán a des semaines chargées. Tous les jours, c’est une nouvelle provocation lancée au visage de la Commission européenne. Jeudi 24 septembre, le premier ministre hongrois juge le nouveau pacte migratoire trop laxiste à son goût. Vendredi 25, il prévient que la Hongrie bloquera le plan de relance européen si le versement des fonds est conditionné au respect de l’Etat de droit. Lundi 28, son ministre de la Justice annonce la création d’un institut judiciaire destiné à évaluer le respect de l’Etat de droit dans l’Union européenne et à «combattre l’oppression idéologique libérale». Mardi 29, il réclame le départ de Vera Jourová, la commissaire européenne aux Valeurs et à la transparence, qui venait de qualifier la Hongrie de «démocrati

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