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Piste accidentelle confirmée

Publié le 27.06.2019

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Notre-Dame de Paris » Une cigarette mal éteinte ou un dysfonctionnement électrique parmi les hypothèses: plus de deux mois après l’incendie de Notre-Dame de Paris, les enquêteurs privilégient la piste de l’accident, que des investigations désormais menées par des juges d’instruction doivent permettre de préciser.

La cathédrale gothique de l’île de la Cité, vieille de plus de 850 ans, a perdu sa flèche, sa toiture et une partie de sa voûte le 15 avril, ravagées par les flammes, alors que des opérations de restauration étaient en cours.

L’incendie de ce lieu emblématique de la capitale, classé au Patrimoine mondial de l’Unesco, avait provoqué une vive émotion dans le monde et un élan de solidarité pour le restaurer.

Depuis, les enquêteurs de la brigade criminelle de la police judiciaire ont mené «une centaine d’auditions de témoins», notamment des ouvriers, des vigiles et des responsables des entreprises intervenant sur le chantier ou du diocèse, ainsi que «de très nombreuses constatations», a détaillé mercredi le Parquet de Paris dans un communiqué.

Les investigations vont à présent se poursuivre sous la conduite de trois magistrats instructeurs, aux plus larges prérogatives d’enquête. ATS/AFP

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