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Reconstruction en suspens

Trois mois après l’incendie qui a ravagé Notre-Dame, l’heure est encore à sécuriser et panser les plaies de la cathédrale, face aux risques d’éboulement et d’effondrement

De larges arcs-de-cercle en bois ont été disposés sous les arcs-boutants du chœur de la cathédrale afin d’en consolider la structure car tout risque d’effondrement n’est pas encore écarté. Il reste aussi encore des tonnes de gravats à évacuer avant de pouvoir envisager vraiment la reconstruction. © Key
De larges arcs-de-cercle en bois ont été disposés sous les arcs-boutants du chœur de la cathédrale afin d’en consolider la structure car tout risque d’effondrement n’est pas encore écarté. Il reste aussi encore des tonnes de gravats à évacuer avant de pouvoir envisager vraiment la reconstruction. © Key
De larges arcs-de-cercle en bois ont été disposés sous les arcs-boutants du chœur de la cathédrale afin d’en consolider la structure car tout risque d’effondrement n’est pas encore écarté. Il reste aussi encore des tonnes de gravats à évacuer avant de pouvoir envisager vraiment la reconstruction. © Key
De larges arcs-de-cercle en bois ont été disposés sous les arcs-boutants du chœur de la cathédrale afin d’en consolider la structure car tout risque d’effondrement n’est pas encore écarté. Il reste aussi encore des tonnes de gravats à évacuer avant de pouvoir envisager vraiment la reconstruction. © Key
De larges arcs-de-cercle en bois ont été disposés sous les arcs-boutants du chœur de la cathédrale afin d’en consolider la structure car tout risque d’effondrement n’est pas encore écarté. Il reste aussi encore des tonnes de gravats à évacuer avant de pouvoir envisager vraiment la reconstruction. © Key
De larges arcs-de-cercle en bois ont été disposés sous les arcs-boutants du chœur de la cathédrale afin d’en consolider la structure car tout risque d’effondrement n’est pas encore écarté. Il reste aussi encore des tonnes de gravats à évacuer avant de pouvoir envisager vraiment la reconstruction. © Key
De larges arcs-de-cercle en bois ont été disposés sous les arcs-boutants du chœur de la cathédrale afin d’en consolider la structure car tout risque d’effondrement n’est pas encore écarté. Il reste aussi encore des tonnes de gravats à évacuer avant de pouvoir envisager vraiment la reconstruction. © Key
De larges arcs-de-cercle en bois ont été disposés sous les arcs-boutants du chœur de la cathédrale afin d’en consolider la structure car tout risque d’effondrement n’est pas encore écarté. Il reste aussi encore des tonnes de gravats à évacuer avant de pouvoir envisager vraiment la reconstruction. © Key

Benjamin Masse, Paris

Publié le 19.07.2019

Temps de lecture estimé : 10 minutes

France » Trois mois après l’incendie qui a ravagé la cathédrale, Notre-Dame-de-Paris conserve l’aspect d’une grande brûlée. Si les deux tours trônent toujours fièrement, intactes, la majeure partie de l’édifice est défigurée par les bâches et les échafaudages géants, là où l’œuvre de dévastation des flammes a été la plus radicale.

La nef de l’édifice, d’une longueur totale de 60 mètres, conserve au premier chef les stigmates de l’incendie : l’intérieur demeure largement noirci, et le bois brûlé jonche encore le sol. Deux « parapluies » – des grandes bâches temporaires – et des filets ont été déposés au-dessus de la nef et du chœur de l’auguste bâtisse. Des robots prél&egr

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