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Theresa May a pu éviter le pire

La Chambre des communes ne lui dictera pas la conduite à suivre sur le Brexit

Tanguy Verhoosel, Bruxelles

Publié le 13.06.2018

Temps de lecture estimé : 3 minutes

Royaume-Uni »   Theresa May, la première ministre britannique, a une fois de plus senti le vent du boulet, hier soir. Alors que les pourparlers sur la sortie du Royaume-Uni de l’UE patinent, à Bruxelles, et que les tensions sont de plus en plus vives au sein de sa propre équipe, elle a dû s’engager à impliquer davantage le Parlement d’Albion dans le Brexit, afin d’éviter un nouveau ­camouflet.

Les membres de la Chambre des communes ont commencé hier à voter sur quinze amendements à la «loi de retrait du Royaume-Uni de l’Union européenne» qu’ont adoptés les Lords, qui forment la Chambre haute du Parlement d’Albion. Certains d’entre eux sont très embarrassants pour le Gouvernement britannique, car ils visent à réduire sa marge de manœuvre vis-à-vis de la Commission européenne et des Vingt-Sept.

Adhérer à l’EEE?

Aujourd’hui, les députés devront par exemple se prononcer sur une éventuelle adhésion d’Albion à l’Espace économique européen (EEE) et le maintien du pays dans l’Uni

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