Il est évident qu’à l’heure du numérique et du respect de l’environnement, des études ont démontré une perte de vitesse et de tirage des journaux papier, mais une croissance importante des «vues» sur les sites journalistiques. Certes, il est à déplorer des pertes d’emplois dans le milieu technique de l’impression, mais d’autres emplois ont fait leur apparition.

L’avancée du numérique et des nouveaux moyens de communication permet aux lecteurs de s’informer plus rapidement avec des outils à portée de main. Faisant partie de cette «e-génération» bercée au son des smartphones, je trouve normal de me connecter sur les journaux informatisés pour puiser les nouvelles et pour m’informer sur le monde qui m’entoure. D’un clic, nous transmettons cette information à nos amis, nous échangeons sur des faits d’actualité et restons en phase avec le monde réel.

La révolution industrielle, qui avait permis la démocratisation de l’accès à l’information, a aussi engendré la perte de certains emplois et la re-structuration des moyens de communication, mais avant tout elle a apporté des emplois d’un type nouveau.

Aujourd’hui la révolution technologique facilite l’accès au plus grand nombre et permet une évolution des connaissances du monde dans lequel nous vivons. Par ce biais, d’autres corps de métiers sont apparus, correspondant au monde de demain.

La vision du journal que l’on déplie renvoie à nos grands-parents, donc elle est devenue obsolète. Survivre: c’est s’adapter aux nouvelles technologies.

Pauline BOur, Fribourg