Merci M. Maceiras (10.4 et aussi 13.3) de nous rappeler une tradition qui faisait la fierté de la Suisse: l’accueil de l’étranger même si celui-là, à l’époque, était plus vivement attendu, voire désiré, vu qu’il venait combler un manque de travailleurs.

Aujourd’hui, on oublie trop facilement ce que nous, ce que le pays leur doit! Aujourd’hui, une partie des Suisses veut tout fermer, bloquer l’accès de ce pays construit par d’autres, à ceux que l’on pourrait, sans excès, accueillir. Tout cela en forme de remerciement!

Si chaque commune prenait deux personnes, on pourrait régler cette honte de Samos vue à l’émission Temps Présent (RTS) au début avril. Tout cela sans gros frais, «sans charger la barque» au vu de la richesse du pays. Un peu d’humanité démontrée en forme d’exemple par un petit pays, mais qui avoue que l’origine de sa richesse peut donner forme à une certaine compensation.

Françoise Déglon, Attalens