Le bon grain et l’ivraie
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Une année pourrie covidantesque qui a le culot de mettre son 1er août un dimanche? En plus de la pluie, des orages, oh désespoir, pas de jour férié pour réjouir les 73% de Fribourgeois blindés d’anticorps qui se transporteront sans doute dans la cité du Comte Michel pour se voir triés comme le bon grain de l’ivraie à l’entrée du périmètre auquel ils devaient avoir la liberté d’accès pour y boire la bonne parole patriotique de leurs Excellences de l’OFSP, les services de leurs dites Excellences ayant «fortement suggéré d’opter pour le certificat Covid», comme semble le déplorer Monsieur le syndic Jean-Pierre Doutaz (La Liberté du 24 juillet, «Invité du 1er Août, Alain Berset veut le certificat Covid»)…
Non, mais «à l’eau quoi»! Et pour accompagner la phrase la plus longue des courriers de lecteurs depuis le début du siècle, un autre commentaire: le cervelas, le bout de bois sur un bout de feu, et tout seul, surtout tout seul sur un bout de caillou du Moléson: bon 1er Août.
Marie-Claire Dewarrat,
Châtel-Saint-Denis