La Liberté

pictogramme abonné La Liberté Contenu réservé aux abonnés

Dormir, puis se réconcilier avec la vie

Le réveil à la cabane Rambert est une expérience qui se mérite mais ne s’oublie pas de sitôt

La cabane Rambert, perchée à 2582 mètres d’altitude, au pied du Grand-Muveran. © DR
La cabane Rambert, perchée à 2582 mètres d’altitude, au pied du Grand-Muveran. © DR
Dormir, puis se réconcilier avec la vie
Dormir, puis se réconcilier avec la vie
Dormir, puis se réconcilier avec la vie © DR
Dormir, puis se réconcilier avec la vie © DR
Claude et Maïté Hotz sont depuis trois ans les gardiens de la cabane. © DR
Claude et Maïté Hotz sont depuis trois ans les gardiens de la cabane. © DR

PATRICK TURUVANI

Publié le 03.08.2018

Temps de lecture estimé : 6 minutes

Ma nuit en cabane (4/5) » Loin du monde, perché dans les arbres, perdu au milieu d’un étang ou lové au pied des cimes: cette semaine La Liberté invite à dormir dehors.

Passer une nuit en cabane, ça se mérite un peu, beaucoup, passionnément… En cette fin de mois de juin, l’été fait encore semblant en haute montagne. A l’entrée du cirque de Plan Salentse, le sentier menant d’Ovronnaz à la cabane Rambert disparaît sous un épais névé. On suit quelques traces, on en fait d’autres, bataillant contre ce reste d’hiver qui s’accroche aux flancs du Grand-Muveran.

Le dernier raidillon avalé, on prend pied sur la terrasse du refuge, perché à 2582 mètres d’altitude. Un balayage de l’écrin géant débusque le Weisshorn, la Dent-Blanche, le Cervin, le Gra

Articles les plus lus
La Liberté - Bd de Pérolles 42 / 1700 Fribourg
Tél: +41 26 426 44 11