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Un diamant culturel en Vénétie

A une encablure de Venise, Padoue s’impose comme un berceau de la Renaissance italienne

Les trésors sont nombreux à Padoue. Ici la Villa Contarini et ses fresques de Tiepolo. © GB/Office du tourisme de Padoue
Les trésors sont nombreux à Padoue. Ici la Villa Contarini et ses fresques de Tiepolo. © GB/Office du tourisme de Padoue

Gérard Blanc

Publié le 27.04.2021

Temps de lecture estimé : 6 minutes

Italie » A une cinquantaine de kilomètres de Venise, Padoue a pour pseudonyme la «ville des trois sans»: sans porte, parce que son café Pedrocchi était ouvert 24 heures sur 24; sans nom, parce que saint Antoine était considéré comme «le» saint par excellence, et sans herbe, parce que le Prato della Valle, la place la plus spacieuse d’Italie, était un marécage sur lequel aucune herbe ne pouvait pousser.

Le palais Bo Au même titre que Florence, Padoue est une ville universitaire. On doit son ouverture à des étudiants dissidents de l’Université de Bologne venus s’installer au palais Bo de Padoue, en 1222. L’édifice est ouvert aux visites guidées, au cours desquelles on peut d’abord découvrir affichée sur un mur la liste des personnalités célèbres qui y ont étudié, comm

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