Après les serviettes et les sardines…
Viré de France Télévisions, l’animateur-imitateur Patrick Sébastien continue la scène et la chanson
Virginie Ballet
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Dans un coin de son bureau très design, orné d’un portrait de Frédéric Dard, de bustes de Léonard de Vinci et de Che Guevara, trône un drôle de tableau un peu kitsch: sur fond noir, un clown en coquillages. L’objet lui a été légué en héritage par une inconnue. Ce type de témoignages d’affection, Patrick Sébastien s’en repaît comme de trophées. Un an après l’annonce de la fin d’une collaboration de vingt-trois ans avec France Télévisions, l’animateur-producteur se veut apaisé, libre.
A l’entendre citer Aristophane, on aurait été tenté de dire «sage», s’il n’avait fait mine de demander s’il doit «sortir sa bite» au moment de la photo. S’amusant d’être là où il se pense attendu par cette «&eacut