Citadine et observatrice du monde
Fribourgeoise et Equatorienne, Indira Gomez est une des auteures de l’identité visuelle du Paléo 2020
Stéphanie schroeter
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Illustration » Minifrange, maxibouclettes et microsourire. Et cette hésitation. Mona Lisa ou petite poupée? Ou un mélange des deux? Indira Gomez est de celles qui vous réconfortent par leur douceur et leur calme. Comme si elle avait déjà vécu mille vies du haut de sa minuscule vingtaine. Un air différent à la fois proche et lointain, un je-ne-sais-quoi qui vous rappelle les vertes et bucoliques prairies d’ici. Un truc exotique, comme un léger accent aux origines indéterminées. Il y a une authenticité troublante chez cette fille douée qui dessine comme elle existe. Avec un certain talent qui s’affichera d’ailleurs l’année prochaine dans le cadre du Paléo Festival…
Indira, vous avez fait des dessins pour le Paléo 2020. Comment cela s’est-il passé?
Je suis depuis un an une