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«J’ai trop d’idées, c’est ça mon souci»

Créateur de la Tzampata, agent de star débrouillard, Alexandre Lauber est partout mais jamais où on l’attend

Alexandre Lauber, chez lui, en Vieille-Ville de Fribourg où il a grandi et où il habite toujours. © Alain Wicht
Alexandre Lauber, chez lui, en Vieille-Ville de Fribourg où il a grandi et où il habite toujours. © Alain Wicht
«J’ai trop d’idées, c’est ça mon souci»
«J’ai trop d’idées, c’est ça mon souci»

Stéphanie Schroeter

Publié le 02.07.2018

Temps de lecture estimé : 8 minutes

Paysages et stars »   Alexandre Lauber parle. Mais appelez-le plutôt «Alex», c’est plus court, plus efficace. Un peu à son image d’ailleurs. Donc Alex parle. Beaucoup même. Sautille avec aisance d’un sujet à l’autre. Mais c’est pour la bonne cause car des histoires, ce Fribourgeois issu de la Basse en a des tonnes à raconter. D’abord paysagiste dans ses jeunes années, le quadragénaire à la voix rauque, véritable roi de la débrouille, a ensuite œuvré dans la communication, l’événementiel ou la publicité, entre autres. Agent de star à ses heures jamais perdues, le cerveau en constante ébullition, il a aussi eu l’idée, il y a dix ans, d’organiser une course à travers les escaliers de la ville de Fribourg. Le papa de la Tzampata a vécu mille et une vies. Et ce n’est

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