Piccolo, le gardien du chaudron
Georges Faessler, alias Piccolo, est un des piliers du Festival de soupes depuis le début, il y a quinze ans
Stéphanie Schroeter
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Le devant de la scène, très peu pour lui. Les lumières, les honneurs et tout le tralala, il n’aime pas trop ça. Son truc, à Piccolo, c’est le partage. La convivialité, la rigolade et les moments chaleureux qui vont avec. En toute simplicité. Nut sage les autres, comme dirait peut-être (mais on n’est jamais certain de rien en ce bas monde) ce Bolze de la Basse, un vrai de vrai. Un des derniers témoins, sans doute, d’une époque un peu révolue où l’entraide et le partage n’étaient pas que des mots qui font joli dans un article.
© Corinne Aeberhard
Mais revenons aux ingrédients préférés de Georges Faessler, son nom officiel, ceux qui composent la recette magique, celle du succès du Festival de soupes dont la quinzième édition se déroule actuellemen