Des abonnés pas très nets
Certaines stars des réseaux sociaux comptent plus de faux que de vrais suiveurs
Vincent Bürgy
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Web » Depuis l’éclosion des réseaux sociaux, il est désormais possible d’acheter une notoriété au lieu de la bâtir. C’est ainsi qu’une machine installée dans un centre commercial de Moscou permet notamment d’augmenter artificiellement la popularité d’un compte Instagram. Pour quelques francs, il est ainsi possible de s’offrir une poignée d’abonnés, des followers en anglais, ou de «j’aime» pour ses photos. Des sites internet proposent également ce type de prestations.
Contre toute attente, ce phénomène touche aussi les profils des stars suisses d’Instagram. Une récente enquête de la SRF a ainsi révélé que la communauté de nombreux influenceurs, ces utilisateurs rémunérés par des marques pour relayer certains contenus, étaient composées de très nombreux faux followers. Il ressort même de cette enquête que, sur l’échantillon examiné, un tiers des profils sont tout simplement fantoches.
Au classement du plus grand nombre de comptes fantômes, la chanteuse et mannequin Snezh