L’âge d’or de la japanimation
Le géant du streaming Netflix se profile sur le créneau de l’animation japonaise
Igor Rodrigues Ramos
Temps de lecture estimé : 2 minutes
Streaming » Depuis plus d’un an déjà, on sent que Netflix cherche à s’imposer comme l’un des acteurs majeurs de la production et de la diffusion de films et séries d’animation japonaise. En effet, le géant du streaming a annoncé l’année passée vouloir investir plusieurs milliards de dollars dans la production et la diffusion de plus d’une trentaine de nouvelles séries venues du Pays du Soleil levant, en collaboration avec des studios japonais. Et on commence bien évidemment à ressentir les effets de cette décision.
Certains de ces studios ont déjà connu des succès internationaux comme Production I.G. (Ghost in the Shell), Wit Studio (L’attaque des titans) ou encore Studio Bones (Full Metal Alchemist). Et parmi ces séries annoncées, l’une a davantage retenu l’attention des amateurs: un remake de Saint Seya, plus communément nommé chez nous Les chevaliers du Zodiaque.
Devilman Crybaby, sorti en janvier 2018, a par exemple eu un succès fulgurant et mondial sur la plate