Musique » Alenko a toujours su qu’il voulait faire de la musique. Le chanteur genevois, que l’on classera dans la pop, l’électro, la chanson, le rock ou la musique du monde selon les titres, fête ses vingt ans de carrière. A l’époque où les bacs des disquaires débordaient de CD, on ne savait déjà pas où le ranger. Des magasins avaient même créé une étiquette «Alenko» rien que pour lui.

Il a commencé par le violon, puis a joué des percussions et s’est enfin glissé derrière un micro par hasard. «Dans un de mes premiers groupes, le chanteur est tombé malade. J’ai pris sa place», sourit-il. Il s’inscrit alors au Conservatoire et découvre le negro spiritual.

Alexandre Coppaloni trouve aussi son pseudo. «A la base, je chantais en anglais, accompagné par d’autres musiciens, nous nous appelions Al and Co. Quand j’ai décidé de chanter en français, j’ai choisi Alenko. Il se trouve que c’est aussi un prénom slave et j’ai des origines slaves», dit celui qui est capable de glisser