Ces larbins inoubliables du cinéma
Alors que Renfield, le larbin de Dracula, est l’antihéros d’un film au cinéma, La Liberté a élu les meilleurs hommes de main de l’histoire
Olivier Wyser
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Cinéma » Pour réaliser un bon film, il faut impérativement un méchant charismatique, c’est le B.A.-BA. Mais quand on y réfléchit, être un vilain de pellicule est loin d’être une sinécure. Le cahier des charges est saturé: Il faut kidnapper des demoiselles sans défense, espionner des héros dissimulé dans le décor, placer discrètement des bombes à retardement, prendre en otage des innocents, rédiger des demandes de rançon, échafauder des plans diaboliques pour devenir le maître du monde… Un petit coup de main ne serait pas de refus. Heureusement, le septième art a pensé à tout en dotant nos grands salopards de laquais serviles. On les appelle larbins, sbires, hommes de main, nervis, porte-flingue, séides, gorilles, mercenaires ou encore sicaires. Leur espérance de vie est limitée, to