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Les GINK, ces écolos qui renoncent à devenir parents

Par sensibilité environnementale, les «GINK» renoncent à faire des enfants. Leurs arguments sont-ils valables?

Pour les GINK, continuer à peupler frénétiquement la planète revient à courir à la catastrophe. © Anna Sullivan/Unsplash
Pour les GINK, continuer à peupler frénétiquement la planète revient à courir à la catastrophe. © Anna Sullivan/Unsplash

Patricia Michaud

Publié le 09.05.2022

Temps de lecture estimé : 7 minutes

Avenir » L’annonce a fait sensation tant auprès des amateurs de presse people qu’auprès des défenseurs de l’environnement: en 2019, le prince Harry et son épouse Meghan ont déclaré qu’ils feraient au maximum deux enfants, ce pour des raisons écologiques. La même année, de nombreux jeunes militants descendus dans la rue lors des grèves climatiques brandissaient des pancartes décourageant la procréation afin de sauver la planète.

Communément appelé «GINK» (pour Green inclinations, no kids, c’est-à-dire «tendances vertes, pas d’enfants»), le mouvement consistant à renoncer à faire des enfants – ou à en limiter le nombre – par sensibilité environnementale fait des émules parmi les jeunes Occidentaux, Suisses y compris. «A une époque où

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