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Sans soutien-gorge, si je veux!

Dans un essai enlevé, Gala Avanzi dit adieu aux injonctions de la société autour de la poitrine

Gala Avanzi 
refuse 
de porter 
des soutiens-gorges pour 
se conformer 
à un idéal d
e beauté. © Marie Rouvière
Gala Avanzi 
refuse 
de porter 
des soutiens-gorges pour 
se conformer 
à un idéal d
e beauté. © Marie Rouvière

Véronique Châtel

Publié le 25.11.2021

Temps de lecture estimé : 6 minutes

Vêtement » La crise du Covid aurait répandu une tendance née aux États-Unis, il y a une dizaine d’années mais restée longtemps timide sous nos latitudes: le no bra (littéralement «pas de soutien-gorge»). Le pourcentage de femmes ayant découvert, à la faveur du télétravail, le plaisir de passer leurs journées nues sous leur pull et ayant décidé de ne plus porter de soutien-gorge aurait bondi. De 4 à 18% chez les moins de 25 ans, selon une étude Ifop datant de juillet 2020. Mais aussi de manière significative chez les plus âgées. Il suffit de regarder autour de soi: moins de poitrines pointue et haut perchées, plus de poitrines, même volumineuses, libres et de tétons apparents sous les textiles. La journaliste trentenaire Gala Avanzi y voit le début d’une révolution. A travers l’abandon

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