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Quand la clique claque la porte, ça fait mal – et tout Liestal pleure

ariane gigon

Publié le 20.01.2018

Temps de lecture estimé : 2 minutes

Carnaval. » outre-sarine

 Le décompte déroule les secondes, les heures et les jours sur le site internet de la clique Rotstab («bâton rouge»). Non, nous ne sommes pas en Louisiane, mais dans une autre capitale, celle de Bâle-­Campagne, Liestal: moins connu que celui de Bâle, le carnaval – dans 29 jours et un paquet d’heures – n’en est pas moins un moment très important de la vie locale. Or Rotstab, la plus vieille clique de la ville, claque la porte: dès 2019, ses près de 200 membres ne participeront plus au cortège.

Annoncée lundi dernier, la décision a suscité une véritable onde de choc dans la région, comme le montrent les commentaires postés sur internet ou envoyés à la Basellandschaftliche Zeitung (BZ). Raisons avancées par la clique que les Fribourgeois ont pu voir fin novembre dernier, lors du Rösti­graben Contest où elle a remporté plusieurs prix: outre la quantité de travail nécessaire à la préparation, non seulement du cortège, mais d’un cabaret et d’autres représent

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