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Antoinette de Weck, la liberté de penser ce qui lui plaît

Sortie de l’exécutif de la capitale, Antoinette de Weck peut retrouver sa position favorite d’opposante

Antoinette de Weck ne regrette pas de partir après deux législatures intenses mais sans conflit sérieux, qui ont permis un développement des écoles et de l’accueil extrascolaire. © Corinne Aeuberhard
Antoinette de Weck ne regrette pas de partir après deux législatures intenses mais sans conflit sérieux, qui ont permis un développement des écoles et de l’accueil extrascolaire. © Corinne Aeuberhard

Patrick Chuard

Publié le 04.05.2021

Temps de lecture estimé : 6 minutes

Fribourg » Liberté retrouvée. Antoinette de Weck l’avoue, quelques jours après avoir quitté le Conseil communal: «Je suis soulagée de retrouver du temps pour moi et de ne plus avoir le sentiment de passer un examen perpétuel», dit-elle, prenant le soleil sur une terrasse du centre-ville. Le serveur insiste pour lui offrir sa boisson. La libérale-radicale a ses inconditionnels. Elle ne regrette pas une seconde d’avoir pris la décision de partir après deux législatures intenses qui ont permis un développement des écoles et de l’accueil extrascolaire. Après avoir également développé et assaini une bourgeoisie qu’elle aura incarnée mieux que personne. En somme, deux législatures apaisées et sans conflit sérieux.

Pourtant, Antoinette de Weck était entrée en politique en ferraillant. E

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