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Ça sent le sarcophage pour l’égyptologie

Bien que populaires, les cours donnés à l’Université de Fribourg risquent de faire les frais d’une réforme

Ce sarcophage d’enfant vieux de 2300 ans fait partie de la collection du Musée d’art et d’histoire de Fribourg. © MAHF
Ce sarcophage d’enfant vieux de 2300 ans fait partie de la collection du Musée d’art et d’histoire de Fribourg. © MAHF

Marc-Roland Zoellig

Publié le 13.04.2018

Temps de lecture estimé : 5 minutes

Université »   Près d’un siècle après la découverte du tombeau du pharaon Toutankhamon par l’archéologue et égyptologue britannique Howard Carter, la fascination du public pour les mystères de l’Egypte ancienne reste intacte. A l’Université de Fribourg, une bonne centaine d’étudiants se pressent ainsi chaque semestre dans l’auditoire de la chargée de cours Cathie Spieser, qui enseigne l’histoire de la civilisation égyptienne et les bases de l’écriture hiéroglyphique depuis une dizaine d’années, à raison de quatre heures par semaine (en français et en allemand).

Mobilisation estudiantine

Mais une réallocation des ressources au sein de la chaire d’histoire de l’Antiquité pourrait sonner le glas de cette offre de formation. Les étudiants ont appris réce

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