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«J’essayais de ne pas paniquer»

Valérie Pittet, étudiante glânoise, raconte son calvaire, touchée par le virus, et met en garde les jeunes

«Les jeunes ne sont pas à l’abri de cette maladie», prévient Valérie Pittet, qui a dû interrompre ses études pendant un mois. © Alain Wicht
«Les jeunes ne sont pas à l’abri de cette maladie», prévient Valérie Pittet, qui a dû interrompre ses études pendant un mois. © Alain Wicht

Patrick Chuard

Publié le 14.04.2020

Temps de lecture estimé : 6 minutes

Témoignage » «J’ai vécu des nuits blanches. Un vrai cauchemar. J’avais l’impression d’avoir une grenade collée au sternum, j’essayais juste de ne pas paniquer», raconte Valérie Pittet. Cette Romontoise de 22 ans a été clouée au lit pendant deux semaines à cause du coronavirus. Puis elle a dû attendre deux semaines supplémentaires pour être en état de reprendre ses études. «Au début, je ne pouvais même pas me concentrer pour lire cinq lignes.» Valérie Pittet n’est pas la première ni la dernière jeune femme à être malade du coronavirus, elle a eu la chance d’échapper aux soins intensifs. Mais son témoignage rappelle que le Covid-19 n’est pas une maladie bénigne, même si l’on est jeune et en bonne santé.

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