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L’assassinat qui hante les Singinois

L’écrivain David Bielmann a consacré un roman à l’affaire du meurtre de la jeune Christina Aeby en 1820

L’auteur David Bielmann devant le mémorial érigé sur les lieux du crime ayant coûté la vie à Christina Aeby en mai 1820. © Fabienne Bielmann, Dimorph.ch
L’auteur David Bielmann devant le mémorial érigé sur les lieux du crime ayant coûté la vie à Christina Aeby en mai 1820. © Fabienne Bielmann, Dimorph.ch

Marc-Roland Zoellig

Publié le 05.06.2018

Temps de lecture estimé : 4 minutes

Publication »   La stèle est plantée en bordure de chemin, à l’extérieur de Dirlaret, au lieu-dit Oberi Tächmatt. Ce petit monument marqué par les intempéries rend hommage à Christina Aeby, une enfant du village brutalement assassinée dans la nuit du 3 au 4 mai 1820, alors qu’elle rentrait du marché de Fribourg. Elle avait 21 ans et passait pour être la plus belle fille de la région. La sauvagerie de son meurtre, attribué à un jeune homme qui finira pendu et roué sur la colline du Guintzet, à Fribourg, hante aujourd’hui encore l’imaginaire collectif singinois.

«J’ai entendu parler de cette affaire lorsque j’étais encore enfant», se souvient David Bielmann. L’écrivain et enseignant né en 1984, que les amateurs de polars connaissent aussi sous son pseudonyme de Pierre Paillasse,

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