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La taxe s’invite au Dies academicus

L’augmentation de la taxe universitaire a été au centre de l’attention hier lors des festivités de l’Alma mater

Munis d’un bâillon durant toute la cérémonie du Dies academicus, les étudiants protestant contre la hausse de la taxe universitaire ont quitté leurs sièges pour rejoindre le président de l’AGEF le temps de son allocution. Avant de quitter la scène pour laisser parler la rectrice. © Charly Rappo
Munis d’un bâillon durant toute la cérémonie du Dies academicus, les étudiants protestant contre la hausse de la taxe universitaire ont quitté leurs sièges pour rejoindre le président de l’AGEF le temps de son allocution. Avant de quitter la scène pour laisser parler la rectrice. © Charly Rappo

Igor Cardellini

Publié le 16.11.2017

Temps de lecture estimé : 6 minutes

Université »   Le Dies academicus, célébré hier par l’Université de Fribourg, a été l’occasion de s’interroger sur l’autonomie des universités et de leurs composantes, de parler de liberté académique ou encore de décerner des titres de docteur Honoris causa (lire ci-après)… Mais c’est surtout l’augmentation de 360 francs par année de la taxe universitaire qui a animé le programme millimétré des festivités dans l’aula magna.

Si elles se sont déroulées sans contretemps, l’ambiance n’en était pas moins parsemée d’un parfum de protestation. Comme lorsque deux des huitante étudiants réunis sur la scène au moment du discours du président de l’Association générale des étudiants de l’Universit&e

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