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Le casse-tête des quarantaines

Une maman relève des incohérences pour les enfants. La task force répond

La docteure Finn-Ann Magnin, cheffe de l’état-major de la task force sanitaire, rappelle les règles de mise en quarantaine pour les classes: «A partir de deux cas, nous menons une analyse plus précise de la situation.» © Keystone/photo prétexte
La docteure Finn-Ann Magnin, cheffe de l’état-major de la task force sanitaire, rappelle les règles de mise en quarantaine pour les classes: «A partir de deux cas, nous menons une analyse plus précise de la situation.» © Keystone/photo prétexte

Stéphanie Buchs

Publié le 16.10.2021

Temps de lecture estimé : 2 minutes

Covid » Un enfant de 9 ans fréquentant l’école primaire a été mis en quarantaine pour avoir été en contact un dimanche avec un copain positif au Covid lors d’une activité sportive hors du cadre scolaire. Alors que ces deux enfants sont à l’école ensemble, la classe n’a pas été mise en quarantaine. Dès lors, la maman de l’élève s’interroge: «Le même Covid fréquenté devient soudainement beaucoup plus dangereux dans l’immense halle de sport que dans la petite salle de classe… C’est à se demander si l’autorité cantonale n’aurait pas décidé de sanctionner les loisirs des enfants, qui, je le rappelle, n’ont pas accès au vaccin pour le moment.»

Et la maman d’ajouter: «Ce contact dominical n’a duré qu’une heure et dans une halle de sport (hauteur sous plafond 8-10 mètres).»

La docteure Finn-Ann Magnin, cheffe de l’état-major de la task force sanitaire, également médecin dentiste cantonale, répond: «Une analyse précise est faite pour chaque cas de mise en quarantaine. Dans un

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