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Plongée en Égypte, il y a 1500 ans

Le Musée Bible+Orient a fait restaurer des centaines de fragments de papyrus inédits qui vont pouvoir être analysés. Une chance pour les chercheurs et les étudiants

Propriété du Musée Bible+Orient depuis des années, les papyrus ont pu être restaurés et seront étudiés, notamment par le professeur Thomas Schmidt et ses étudiants. Directrice de l’institution, Marie-France Meylan Krause réfléchit à la façon de présenter ces documents aux visiteurs. © Charly Rappo
Propriété du Musée Bible+Orient depuis des années, les papyrus ont pu être restaurés et seront étudiés, notamment par le professeur Thomas Schmidt et ses étudiants. Directrice de l’institution, Marie-France Meylan Krause réfléchit à la façon de présenter ces documents aux visiteurs. © Charly Rappo
Florence Darbre commence par nettoyer «à sec» les fragments de papyrus, avant de les placer dans une chambre humide pour les défroisser. © Alain Wicht
Florence Darbre commence par nettoyer «à sec» les fragments de papyrus, avant de les placer dans une chambre humide pour les défroisser. © Alain Wicht
Florence Darbre commence par nettoyer «à sec» les fragments de papyrus, avant de les placer dans une chambre humide pour les défroisser.
Florence Darbre commence par nettoyer «à sec» les fragments de papyrus, avant de les placer dans une chambre humide pour les défroisser.
Florence Darbre commence par nettoyer «à sec» les fragments de papyrus, avant de les placer dans une chambre humide pour les défroisser.
Florence Darbre commence par nettoyer «à sec» les fragments de papyrus, avant de les placer dans une chambre humide pour les défroisser.
Florence Darbre commence par nettoyer «à sec» les fragments de papyrus, avant de les placer dans une chambre humide pour les défroisser.
Florence Darbre commence par nettoyer «à sec» les fragments de papyrus, avant de les placer dans une chambre humide pour les défroisser.
Florence Darbre commence par nettoyer «à sec» les fragments de papyrus, avant de les placer dans une chambre humide pour les défroisser.
Florence Darbre commence par nettoyer «à sec» les fragments de papyrus, avant de les placer dans une chambre humide pour les défroisser.

Anne Rey-Mermet

Publié le 14.02.2019

Temps de lecture estimé : 10 minutes

Université de Fribourg » Ce trésor dormait depuis des années dans des cartons. Faute de moyens pour les restaurer, des dizaines de morceaux de papyrus égyptiens sont longtemps restés à l’ombre de leur boîte. «Avant que j’arrive, il n’y avait pas de papyrologue à l’Université de Fribourg. A l’époque, en 2009, on m’avait montré ces boîtes de papyrus de 1500 à 2000 ans d’âge, mais nous ne pouvions rien en faire sans risquer de les abîmer», se souvient Thomas Schmidt, professeur de philologie classique et curateur de la collection au Musée Bible+Orient. Ces mystérieux morceaux ont été légués par deux collectionneurs privés.

Ces dernières années, l’institution a déclaré un moratoire sur les achats de nouvelles pièces en tous genre

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