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Se jumeler surtout pour l’amitié

Des communes fribourgeoises ont choisi de s’unir avec leurs homologues françaises. Tour d’horizon

Thierry Steiert, syndic de Fribourg, pose sur la terrasse baptisée Rueil-Malmaison, qui surplombe la Basse-Ville de Fribourg. Elle a été inaugurée en juillet 2003. © Alain Wicht
Thierry Steiert, syndic de Fribourg, pose sur la terrasse baptisée Rueil-Malmaison, qui surplombe la Basse-Ville de Fribourg. Elle a été inaugurée en juillet 2003. © Alain Wicht

Stéphanie Buchs

Publié le 02.04.2022

Temps de lecture estimé : 6 minutes

Communes » Il fut un temps où le jumelage était à la mode. Cet acte consiste à lier deux communes, souvent de pays différents, par une forme de pacte officiel. L’origine du jumelage remonte à l’immédiat après-guerre, à la moitié du XXe siècle, où l’objectif était de réconcilier les peuples allemand et français en tissant des liens entre communes des deux pays. Mais la pratique a essaimé bien au-delà de ces deux nations. Depuis, plusieurs communes fribourgeoises se sont lancées dans l’aventure. Dans le cadre de cette édition spéciale sur la France, plongeons dans l’histoire de quatre communes qui se sont unies à des homologues françaises.

Fribourg

La capitale cantonale fête cette année ses trente ans de jumelage avec Rueil-Malmaison, une ville française ais&eacut

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