Grand Conseil »   Première année d’activité, en 2017, pour le médiateur cantonal, Philippe ­Vallat. Et premier rapport présenté aux parlementaires, qui ont salué le travail fourni par cette autorité indépendante, qui doit renforcer le lien entre l’administration et la population.

«Le médiateur a été sollicité à 43 reprises. Une bonne moitié des affaires ne relevait pas de sa compétence», a souligné le rapporteur Michel Chevalley (udc, Granges). Et c’est bien là l’un des problèmes de la loi, qui limite les prérogatives. Le médiateur ne peut par exemple pas traiter les affaires concernant la police ou les communes.

Des députés ont plaidé pour une adaptation législative. «La loi a effectivement quelques défauts de jeunesse. Mais il convient d’acquérir un peu d’expérience avant de la modifier», a soutenu le directeur des Institutions, Didier Castella. PP