Un effet papillon au festival de Morat
Une troupe italienne constituait une des attractions phares de la manifestation qui s’est achevée hier
Lise-Marie Piller
Temps de lecture estimé : 6 minutes
Danse » Surprise! La porte d’un local appartenant à une église moratoise s’ouvre, mais il n’y a personne. Ou plutôt si: deux interminables jambes gainées d’un pantalon scintillant. Deux mains fines saisissent le montant et un visage apparaît dans l’encadrement. Quelle est cette créature? Lèvres bleues, couronne argentée, elle ressemble à une fée des glaces. Elle cligne des yeux puis, courbée à 90°, entre tant bien que mal. Ses cheveux, son dos frôlent le plafond tant elle est haute.
Il s’agit de Giada, une artiste de la troupe italienne Corona Events, juchée sur des échasses, de retour d’une chorégraphie dans la rue principale de Morat. Une des attractions phares du Festival des lumières, qui s’est achevé hier.
Vêtements thermiquesBien