Imaginatifs, les participants ont échafaudé des scénarios autour de la Glâne de 2040. Comme l’histoire d’un visiteur qui descend du train à Ecublens: il monte dans un bus électrique, en direction de la zone artisanale d’Ursy. Il y découvre des écosystèmes d’entreprises. Puis il enfourche un vélo électrique, chemine sur des pistes cyclables (pour l’heure inexistantes) et fait escale dans une ferme, où il achète des produits du terroir. A Romont, il découvre une Vieille-Ville «libérée de la voiture». Il poursuit sa route jusqu’à Torny pour y visiter un musée d’importance nationale, allusion à peine voilée au projet de musée d’art contemporain.

Un autre groupe a imaginé un chef d’entreprise convaincu de s’implanter en Glâne, notamment en raison d’un réseau d’entreprises aux services partagés, de la qualité de vie et de l’offre en transports combinés, avec des navettes autonomes. Un district qui rayonnerait autour d’un festival international du livre et du divertissement de jeunes