Béjart: le syndic répond aux critiques
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Lausanne L’affaire de l’école de danse et du ballet pose des questions de gouvernance.
Les critiques de la droite ont fusé mercredi soir au Conseil communal de Lausanne à propos du Béjart Ballet. Elles ont montré à quel point le mélange des genres fait problème.
L’école-atelier Rudra Béjart et le Béjart Ballet Lausanne (BBL), qui sont aujourd’hui l’objet de révélations fâcheuses, sont des institutions privées, mais très largement subventionnées par la ville (5,3 millions). Avec comme conséquence d’avoir le syndic Grégoire Junod (ps) qui doit s’expliquer pour la municipalité, tout en étant lui-même vice-président du Conseil de fondation Béjart Ballet Lausanne. Pas moins de cinq résolutions ont été adoptées.
Face à la critique sur l’imbrication des rôles, Grégoire Junod a affirmé que Lausanne avait raison d’avoir choisi d’agir différemment que le canton de Vaud et la Confédération. «Nous ne fuyons pas nos responsabilités, nous les assumons à la fois comme membres du