Chanter sur la grande scène de Paléo
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J’ai testé pour vous
Sur la grande scène de Paléo, cette année, il y a eu Depeche Mode, The Killers, Gorillaz, Lenny Kravitz, Indochine et moi. Pas moi toute seule, mais moi au milieu du Chœur de chambre de l’Université de Fribourg, du Chœur du Collège Sainte-Croix et du Chœur Pro Arte de Lausanne. Trois formations qui prêtaient leurs voix au Stabat Mater de Rossini, accompagnées par l’Orchestre de chambre fribourgeois, le tout dirigé par Pascal Mayer. C’était hier, dernier jour de l’édition 2018 du festival nyonnais (lire ci-après).
Passons sur le retour à cette activité chorale après une bonne dizaine d’années de mutisme, la difficulté à déchiffrer la partition, l’horreur de découvrir que mon diaphragme ne répondait plus du tout à mes ordres et ma voix qui n’en faisait qu’à sa tête. Mais tout cela, c’est du détail. Car il y a aussi eu le plaisir de chanter à nouveau, en groupe, de participer à un concert original et de découvrir les coulisses de Paléo, où les artistes sont ch