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«Uber ne recule devant rien»

La plateforme aurait recours à des sociétés paravents dans le but de contourner ses obligations sociales

Achille Karangwa

Publié le 16.03.2018

Temps de lecture estimé : 4 minutes

Chauffeurs »   Des rémuné­rations aussi basses que 2500 francs par mois pour un temps-plein ou des semaines de plus de 45 heures. Les conducteurs dépendant des sociétés de véhicules de transport avec chauffeurs (VTC), comme Uber, seraient surexploités selon le député socialiste et syndicaliste vaudois Jean Tschopp. Il a interpellé mardi le Conseil d’Etat afin d’éclaircir la situation vaudoise et sévir le cas échéant.

Lundi, la commission du Grand Conseil qui planche sur le projet de loi du Conseil d’Etat régissant l’activité des VTC, entamera ses travaux.

«Uber ne recule face à rien et utilise un montage de sociétés paravents pour poursuivre ses activités hors la loi, sans aucun respect ni pour les travailleurs, ni pour la clientèle», assène Jean Tscho

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