Un plan vaudois pour l’apprentissage
La conseillère d’Etat Cesla Amarelle veut valoriser la formation professionnelle, souvent mal-aimée
Raphaël Besson
Temps de lecture estimé : 5 minutes
L’enjeu est de taille pour le canton de Vaud. La valorisation de la formation professionnelle est une priorité de la législature, a martelé hier Cesla Amarelle. La conseillère d’Etat vaudoise a tenu à présenter ses plans dans «l’écrin» que constitue le Salon des métiers et de la formation, qui fête cette année son dixième anniversaire à Beaulieu.
Immédiatement après un défilé de mode sur la scène du Forum et avant une conférence sur la façon de réussir à se faire embaucher, Cesla Amarelle a souligné un message général que Lionel Eperon, directeur de l’enseignement postobligatoire, a par la suite détaillé. «L’apprentissage, c’est un tremplin, et il faut éviter de perdre du temps à se chercher. Il faut aller chercher le CFC. C&rsq