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Vaud suit la situation, «sans inquiétude»

Publié le 18.05.2018

Temps de lecture estimé : 2 minutes

HEIG-VD »   Directrice générale de l’enseignement supérieur du canton de Vaud, Chantal Ostorero (photo DR) répond aux critiques d’enseignants de la Haute Ecole d’ingénierie et de gestion (HEIG-VD), qui dénoncent une situation de crise et une rupture de dialogue avec la direction (notre édition du 16 mai).

L’Association des professeurs de la Haute Ecole d’ingénierie et de gestion (HEIG-VD) a interpellé votre département, dénonçant une rupture de dialogue avec la direction. La situation vous inquiète-t-elle?

Chantal Ostorero: Non, nous la suivons avec attention, mais sans inquiétude. La loi sur les hautes écoles vaudoises (LHEV) a entraîné des changements majeurs, notamment la mise en place d’un organe représentatif. Il est difficile pour une association de professeurs de trouver sa place dans cette nouvelle structure, qui représente équitablement tous les corps de métier.

Dans toutes les hautes écoles, l’adaptation a pris du temps.

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