Sion mise sur la location
Les initiateurs du projet Sion 2026 tiennent à avoir la facture olympique la plus basse possible. Pour ce faire, ils s’appuient, notamment, sur un maximum d’infrastructures existantes
François Rossier
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Olympisme » La candidature de Sion aura-t-elle l’occasion de se mesurer aux autres prétendants à l’organisation des Jeux olympiques d’hiver de 2026? Les urnes rendront leur verdict le 10 juin prochain. Si les Valaisans soutiennent majoritairement le paquet olympique dévoilé ces derniers mois, l’aventure Sion 2026 sera lancée. Dans le cas contraire, tout s’arrêtera.
Pour convaincre – les citoyens valaisans en premier lieu –, les initiateurs du projet ont décidé de s’appuyer sur des infrastructures déjà existantes. Pour les sites de compétition mais aussi pour l’hébergement et les à-côtés. Un moyen de réduire drastiquement la facture finale, d’éviter les éléphants blancs qui minent certaines régions olympiques, et, assurent les promoteurs de Sion 2026, d’exclure