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Combler l’écart pas après pas

En pleine évolution, le sport féminin gagne en crédibilité. Au point de s’approcher de la rémunération des messieurs, ou même de tendre vers la parité? Enquête

Pour Novak Djokovic, ici avec Serena Williams après leurs sacres respectifs 
à Wimbledon
en 2015, il est normal que 
les messieurs gagnent plus que les dames au tennis. © Keystone-
archives
Pour Novak Djokovic, ici avec Serena Williams après leurs sacres respectifs 
à Wimbledon
en 2015, il est normal que 
les messieurs gagnent plus que les dames au tennis. © Keystone-
archives

pierre schouwey

Publié le 08.11.2017

Temps de lecture estimé : 12 minutes

Equit »   Début octobre, la Fédération norvégienne de football a lâché une bombe dans le bastion machiste du ballon rond: onzième au classement FIFA, son équipe féminine recevra dorénavant des primes identiques à celles de son homologue masculine, laquelle a accepté une diminution pour atteindre la parité. Très bon élève en matière d’égalité hommes-femmes, la Norvège fait des envieux. «C’est un pas en avant, un geste fort, se réjouit Gaëlle Thalmann, gardienne de l’équipe de Suisse. Il faut toutefois garder à l’esprit que la Norvège a une grande tradition du football féminin.» La Suisse, elle, en est loin, même si l’énorme gouffre tend à se résorber. «Le niveau va continuer à augmenter, en même temps que la vi

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