Daniel Atienza a joint l’utile à l’agréable
Pierre Salinas
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Les lauriers du week-end
Course à pied » La première fois, c’était en 2013. Douze mois après le passage de l’ouragan Sandy, Daniel Atienza avait bouclé le marathon de New York en 2h32’. Déjà, il s’était classé meilleur Suisse, ce qui est un exploit pour qui se réclame de la caste des populaires. Mais des populaires éclairés. «J’étais tombé amoureux de la course et de la ville, explique le Moudonnois de 45 ans, joint hier par téléphone alors qu’il s’apprêtait à monter dans l’avion. Depuis, je suis revenu à quatre reprises, mais par le biais d’une agence de voyages spécialisée dans les marathons et pour laquelle j’officie en tant qu’accompagnant.» Et de préciser: «J’encadre les clients qui pour la plupart découvrent New York.