«La première fois, j’ai failli mourir»
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Kachlikova: un nom de jeune fille qui trahit les origines de Veronika Schmutz, née il y a bientôt 40 ans en République tchèque. Le trampoline fitness est plus jeune qu’elle, mais il a vu le jour dans le même pays. Une coïncidence? «Oui», répond celle qui est arrivée en Suisse il y a deux décennies comme jeune fille au pair, et qui ne l’a plus quittée depuis. L’histoire de cette maman de deux enfants, puéricultrice auxiliaire dans une crèche de la Basse-Ville de Fribourg, est singulière, à l’image de la manière dont elle a embrassé la discipline.
«Là-bas, on peut pratiquer le jumping dans chaque fitness, même le plus petit. C’est très très connu mais, personnellement, je ne l’ai découvert qu’il y a trois ans», raconte Veronika Schmutz. «Après mon deuxième accouchement, reprend-elle, j’ai voulu me mettre au sport. Les possibilités ne manquaient pas mais beaucoup de cours commençaient à 18 h. Or mon mari rentre du travail à 18 h… Il a donc fallu que je me rabatte sur autre chose.