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Un grain de poussière dans le désert

Trois mois dans les hauts plateaux du nord-ouest argentin et ses lagunes de sel avec une incursion au Chili

A pied ou à vélo, Claude Marthaler a traversé des paysages extraordinaires et immensément vides durant son périple en Argentine et au Chili. Mais il a quand même fait quelques belles rencontres. © DR
A pied ou à vélo, Claude Marthaler a traversé des paysages extraordinaires et immensément vides durant son périple en Argentine et au Chili. Mais il a quand même fait quelques belles rencontres. © DR
A pied ou à vélo, Claude Marthaler a traversé des paysages extraordinaires et immensément vides durant son périple en Argentine et au Chili. Mais il a quand même fait quelques belles rencontres. © DR
A pied ou à vélo, Claude Marthaler a traversé des paysages extraordinaires et immensément vides durant son périple en Argentine et au Chili. Mais il a quand même fait quelques belles rencontres. © DR
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A pied ou à vélo, Claude Marthaler a traversé des paysages extraordinaires et immensément vides durant son périple en Argentine et au Chili. Mais il a quand même fait quelques belles rencontres. © DR
A pied ou à vélo, Claude Marthaler a traversé des paysages extraordinaires et immensément vides durant son périple en Argentine et au Chili. Mais il a quand même fait quelques belles rencontres. © DR

Claude Marthaler

Publié le 08.02.2020

Temps de lecture estimé : 7 minutes

Aventure » Ma transe andine s’est déroulée en Argentine avec, en point de mire, une incursion au Chili: la Puna de Atacama et l’ascension, à pied, de l’Ojos de Salado (6893 m). Privée d’eau douce et d’arbres, on la cite comme la zone la plus élevée de la planète, après le Tibet.

 

Alternant marche et pédalage, je navigue à vue sur un plateau rugueux, immensément vide. De jour, il est brûlé de soleil, de nuit, saisi par le froid du permafrost. Et toujours, le vent. Dans l’auge du monde, couverts de paya brava, une petite plante jaune extrêmement résistante, les volcans éteints, tout en rondeur, taisent leur altitude à trouer le ciel bleu profond. Je fais détaler des ânes sauvages et des vigognes. Car, bien que je me déplace à vélo, je crois être un humain discret, alor

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