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Les Blanches savent aussi sauter

Intérieure d’Elfic, Samantha Ostarello est encore capable de dunker. Preuve qu’elle n’est pas rouillée

Samantha Ostarello: «Après deux ans de pause, je suis heureuse de voir que toutes mes qualités physiques n’ont pas disparu.» © Charly Rappo-archives
Samantha Ostarello: «Après deux ans de pause, je suis heureuse de voir que toutes mes qualités physiques n’ont pas disparu.» © Charly Rappo-archives

Pierre Salinas

Publié le 10.11.2018

Temps de lecture estimé : 7 minutes

SB League féminine » Dans Les Blancs ne savent pas sauter, film de Ron Shelton sorti en 1992, Woody Harrelson incarne un ancien joueur de basketball professionnel blanc reconverti en arnaqueur invétéré. Son truc? Laisser croire aux rois des playgrounds de Venice Beach, Californie, qu’il n’y connaît rien, ou si peu, pour mieux leur piquer leur argent. Comme Woody Harrelson à Hollywood, Samantha Ostarello (27 ans) est l’exception qui confirme la règle: l’intérieure américano-italienne d’Elfic Fribourg aussi est Blanche. Et elle aussi sait plutôt bien sauter. Jusqu’à dunker. Riva, qui se déplace aujourd’hui à la salle Saint-Léonard, est averti.

Une femme capable de «marquer en projetant le ballon dans un arceau perché à 3 m 05 du sol à une ou deux mains», selon la définition de Wikipédia

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